Lien entre auto-immunité et maux occultes + PODCAST
La maladie auto-immune : une famille de maladies
Les maladies auto-immunes surviennent lorsque le système immunitaire, censé protéger le corps contre les infections, se retourne contre les cellules de son propre organisme, les attaquant comme s’il s’agissait d’éléments étrangers avec un phénomène inflammatoire.
Ces maladies sont souvent chroniques et peuvent affecter divers organes et tissus.
Voici quelques exemples de maladies auto-immunes :
Maladie de Crohn : Une maladie inflammatoire chronique de l’intestin, qui provoque des douleurs abdominales, des diarrhées sévères, une perte de poids et des malaises. Elle résulte d’une inflammation du tube digestif, souvent exacerbée par une réponse auto-immune.
Lupus érythémateux systémique (LES) : Maladie inflammatoire chronique qui peut toucher la peau, les articulations, les reins, le cerveau et d’autres organes. Le lupus est souvent caractérisé par des périodes d’aggravation des symptômes suivies de rémissions.
Polyarthrite rhumatoïde (PR) : Elle attaque principalement les articulations, provoquant des douleurs, des gonflements et des déformations. La PR peut également affecter d’autres organes du corps, entraînant des complications variées.
Sclérose en plaques (SEP) : Cette maladie affecte le système nerveux central, provoquant une inflammation qui endommage la gaine de myéline entourant les fibres nerveuses, et peut entraîner des troubles moteurs et sensitifs.
Diabète de type 1 : Le système immunitaire attaque les cellules productrices d’insuline dans le pancréas, ce qui conduit à une incapacité de réguler correctement le taux de sucre dans le sang.
L’eczéma : Une affection cutanée qui entraîne des démangeaisons, des rougeurs et des inflammations.
Le psoriasis : Une maladie chronique qui se manifeste par des plaques de peau rouges et squameuses, souvent douloureuses.
Traitement par Immunosuppresseurs et ses risques
Les immunosuppresseurs sont souvent prescrits pour traiter des maladies auto-immunes pour faire baisser le système immunitaire, mais leur utilisation comporte des risques importants.
Voici un aperçu des effets secondaires et des préoccupations associés à ces médicaments :
- Infections : L’un des principaux risques des immunosuppresseurs est l’augmentation de la susceptibilité aux infections. En affaiblissant le système immunitaire, ces médicaments rendent le corps moins capable de combattre les bactéries, les virus et autres agents pathogènes. Des études montrent que les patients sous immunosuppresseurs sont plus susceptibles de développer des infections graves, comme des pneumonies ou des infections opportunistes .
- Cancers : Une utilisation prolongée d’immunosuppresseurs a été liée à un risque accru de certains types de cancer, notamment les lymphomes et les cancers de la peau. La suppression de l’immunité peut réduire la capacité du corps à détecter et à éliminer les cellules cancéreuses .
- Problèmes rénaux et hépatiques : Certains immunosuppresseurs, comme les corticostéroïdes, peuvent provoquer des effets néfastes sur les reins et le foie, entraînant des complications telles que l’hypertension et l’insuffisance rénale .
- Problèmes gastro-intestinaux : Les patients peuvent également éprouver des effets secondaires gastro-intestinaux, tels que des nausées, des vomissements ou des diarrhées .
- Effets secondaires psychologiques : Les immunosuppresseurs peuvent également avoir des effets sur la santé mentale, provoquant des changements d’humeur, de l’anxiété ou des dépressions chez certains patients .
Le lien entre maladies auto-immunes et mal occulte
Il a été constaté par de nombreux praticiens que les maladies auto-immunes apparaissent souvent suite à un déclenchement d’une maladie occulte.
De nombreuses personnes atteintes de maladies auto-immunes rapportent des expériences où elles sentent une influence extérieure ou un mal occulte qui aggrave leurs symptômes.
Le mal occulte (sihr, mauvais œil, possession) est souvent évoqué lorsqu’une personne rencontre des souffrances physiques et émotionnelles inexplicables.
Ce type de mal peut déclencher une dégradation de la santé qui, sans explication logique, est souvent résolue par des pratiques spirituelles comme la Roqya .
Solutions Naturelles : Alimentation, Roqya, Hijama, et Autres Thérapies
Ainsi, il est conseillé d’adopter des approches holistiques pour traiter ces affections.
Les solutions naturelles recommandées sont :
1. Roqya
La Roqya est une pratique spirituelle consistant à réciter des versets du Coran et des prières prophétiques pour éliminer les énergies négatives et le mal occulte qui pourrait aggraver l’état de santé. Les récitations peuvent être faites par un raqi ou en autonomie, avec l’intention de renforcer la foi, de se protéger, et d’apaiser l’âme. Pour beaucoup de personnes souffrant de maladies auto-immunes, la Ruqya apporte une paix intérieure et une amélioration notable de leurs symptômes. Pour approfondir ce sujet, consultez l’article dédié à la Ruqya
2. L’alimentation
L’alimentation joue un rôle crucial dans la gestion des maladies auto-immunes. En apportant au corps les nutriments nécessaires et en réduisant l’inflammation, il est possible de diminuer les symptômes et de soutenir la guérison. Voici quelques conseils alimentaires spécifiques :
- Réduire l’inflammation : Optez pour des aliments riches en antioxydants, comme les fruits et légumes (notamment les baies, les épinards, et le brocoli) qui aident à neutraliser les radicaux libres.
- Oméga-3 : Consommez des poissons gras comme le saumon, ou des graines de chia, riches en acides gras oméga-3, qui ont des propriétés anti-inflammatoires et peuvent aider à réduire la douleur.
- Éviter le gluten et les produits laitiers : Chez certaines personnes, ces aliments peuvent provoquer des inflammations ou des réactions auto-immunes, aggravant les symptômes.
- Aliments fermentés : Consommez des aliments comme le yaourt, le kefir, et la choucroute, qui aident à équilibrer le microbiome intestinal et soutiennent un système immunitaire sain.
3. Hijama
La Hijama (ou cupping) est une pratique ancienne consistant à appliquer des ventouses sur certains points du corps pour favoriser l’élimination des toxines et stimuler le système immunitaire. Elle est souvent utilisée pour :
- Réduire l’inflammation : Les ventouses aident à soulager les articulations enflammées, comme dans la polyarthrite rhumatoïde.
- Stimuler la circulation sanguine : Cela améliore la réponse du système immunitaire et favorise la régénération des tissus endommagés.
Il est recommandé de suivre un programme régulier de Hijama, généralement à raison d’une séance toutes les trois semaines pendant au moins six mois.
La fréquence et la durée peuvent être réévaluées en fonction de l’évolution et du type de maladie auto-immune à traiter
EN CONCLUSION
Les maladies auto-immunes présentent de nombreux défis pour les personnes qui souffrent, mais une approche holistique, incluant des changements alimentaires, la pratique de la Roqya et des séances de Hijama, peut faire une grande différence. La clé réside dans l’équilibre entre le corps, l’esprit et l’âme , en utilisant à la fois des solutions naturelles et des pratiques spirituelles.
Pour en savoir plus sur la Roqya et son rôle dans la guérison des maladies auto-immunes, n’hésitez pas à lire notre article dédié à la Ruqya et ses bienfaits. Vous pouvez également écouter le podcast en début d’article pour des témoignages et des explications plus détaillées sur le lien entre mal occulte et maladies auto-immunes.
